>> Oli Bellamy |.

Personnalité &&. Caractère Waw ! C’est pas à n’importe qui que vous demandez de se décrire ! Mais à Oli Bellamyyyyyyy !! Bande de malades ! Allez, restons… sérieux ? Pas que je ne sais pas l’être. Juste que… j’ai pas envie. Je sais que dans certaines situations, il le faut, être super attentif, concentré et caaaalme. Or, là, dans l’immédiat, je ne vois aucun danger, ni de raisons de l’être. Alors, comme les présentations sont déjà faites… Enfin, moi je ne connais pas votre nom, mais vous avez pas l’air de vouloir me le dire alors franchement « ALLER VOUS FAIRE … », vous connaissez la suite. Non ! Chut ! J’ai dit chut. Chuuuuuut ! Pas besoin de savoir comment vous vous nommez pour l’instant, voyons d’abord qui je suis moi… Pas que je sois égocentrique ! Non, j’adore parler des heures et des heures de tout et n’importe quoi, de choses et d’autres, de trucs importants ou insignifiants, mais j’écoute comme personne ! Je ne suis pas le centre du monde, je le sais, même si parfois j’aime me faire remarquer – souvent, souvent. Excentrique ? … Attendez, je regarde au dico – j’ai toujours un dico sur moi… c’est étrange ? . « Dont l’apparence, le comportement s’écarte des habitudes sociales. » [Source : Robert Illustré d’aujourd’hui 2002] Alors… Je le suis ptête … Un peu… Rah laissez tomber, bien sur que je le suis et pas qu’un peu ! Mais zut quoi ! Y a pas de mal à ça… Je pense. Non, j’en suis sur. Etre sur de soi est une grande qualité, trouvez pas ? Allez, faut bien m’en trouver une autre… Je suis BON ! Si, je vous jure. Enfin vous voyez, j’aime aider les gens comme je peux – enfin, j’aime aider les gens qui veulent bien que je les aide… Sinon, je m’engueule avec eux et je me casse en leur exposant un joli f*ck. Donc, je suis généreux dans le sens que j’offre mon aide à qui la veut. Et puis, je ne suis pas méchant. Enfin… Je suis toujours – sauf quand je suis over énervé – gentil aux premiers abords. Selon la façon dont les choses évoluent, je reste le même ou fait comprendre que moi et lui, ça va pas aller – en plus, je possède une somptueuse aise à dire ce que je pense haut et fort. Il m’arrive de m’énerver pour un rien, mais jamais beaucoup, voyez, je ne suis pas proprement dit impulsif. Non, ce que je fais c’est que souvent j’encaisse… Et un jour ça pète. Haha, je trouve ça marrant en y repensant. J’ai beaucoup d’humour. Non ; je ris pour rien. Voilà qui est plus approprié. Genre… Je vois un bonsaï. Je vais commencer à m’imaginer la famille des Lutins des bois saouls, entrain de danser en dessous et ça me fera marrer (j’ai une grande imagination). Alors, bien sur, parfois – souvent ? – on ne me suit pas, alors je me prends un fou-rire tout seul – ce qui en général me rend encore plus hilare. Et puis, j’ai oublié de vous citer l’adjectif qui me qualifie le mieux. Vous avez une idée ? Je suis sur que oui. « Bizarre ». Je réfléchis comme personne. En math ou en sciences, je réalisai toujours des autres procédés que mes camarades. Certains disaient que c’était normal – au fait, je voulais toujours pas dit avec tout ça, je suis un type surdoué -, et d’autres me traitent de fous. Mais à force, on s’habitue. Ensuite, il y a mon style. Chose qu’on remarque très vite chez moi, c’est que je suis bi, ayant cependant une préférence pour la gente masculine. Alors, oui, j’adore embêté les mecs hétéros ! C’est marrant, leurs réactions à chacun. J’aime bien les relations d’un soir mais il arrive quelques fois que je tombe amoureux, comme bien des gens. Comme déjà dit, j’aime me faire voir, remarquer. Alors, je laisse paraître cela dans mes habits. Parfois c’est un simple jeans, t-shirt mais d’autres fois c’est un slim vert avec une chemise à fleurs hawaïennes entrouverte, tout cela agrémenté d’une casquette mauve… Tout dépend de mon humeur qui est le plus souvent bonne en surface. Car oui, malgré tout cela, je suis un mec déprimé. Mais sur ce point là, j’évite de me faire remarquer. Je n’en parle vraiment qu’aux gens que j’apprécie énormément et dans lesquels j’ai entièrement confiance. Et ceux là, ils sont plus rares qu’on ne le croit, surtout pour un gars comme moi. De plus, à rajouter à tout cela, une chose que beaucoup de gens ignorent : j’adore l’art. Surtout la musique mais encore plus la peinture. Quand je peins – ou dessine, à d’autres occasions -, je m’évade et ça, c’est quelque chose qui fait toujours du bien. Bref, je pense avoir fait plus ou moins le tour de mon état psychologique… Alors, c’est quoi votre nom ?

Histoire Alours, ma vie commence il y a de ça 39 printemps! Ca fait déjà un bout de temps quand on y pense... Enfin, ça dépend. Mais, ne nous attardons pas plus sur le sujet. Contrairement à beaucoup de gens, je ne suis pas né tout seul. Ahah, non. Avec moi, partageait le ventre de ma mère un autre garçon qui se vu appeler Sébastien. Donc, pour faire moins compliqué, j'avais un jumeau. Par contre, ni lui ni moi ni ma mère, n'ayons une idée de qui aurait pu être notre père. Cause à cela? Vous devez vous en doutez, si même ma maternelle ne le savait pas... Cette dernière n'était pas véritablement une trainée, non je tiens à le dire, juste qu'elle se prostituait. Mais pas de son plein gré, non, loin de là. Ce fut son père qu'il y obligea. Voilà pourquoi elle accoucha de deux petits garçons au jeune âge de 17 ans. Je grandis alors dans une petite maison délabrée avec un frère jumeau avec qui je ne m'entendais pas vraiment terriblement bien. Plus je grandissais et moins j'arrivais à le saquer, vice-versa Je n'ai peut-être rien d'autre à ajouter dans le passage de mon adolescence... Ah peut-être que en fait j'avais peu de potes (c'est toujours le cas en y repensant)? Oui, j'ai toujours été... étrange. Et puis, avoir tout ses "compagnons" sur le dos parce que votre mère est une pute - "Moi au moins, je connais mon père" - et parce que vous êtes bi (pourquoi en aurai-je fait un sujet tabou?), c'était un peu dur parfois. Mais d'une autre part, niveau scolaire, mon frangin et moi étions de vraies bêtes. C'était une des seules qualités que je pouvais reconnaître chez mon frère qui se révélait être un parfait scientifique - il se fit d'ailleurs très vite engager au laboratoire du Clair-Monde. Pour ma part, aimant m'occuper des plus jeunes, je devins professeur de sciences. Quelques années passèrent, durant lesquelles je continuais à haïr de plus en plus mon frère. J'avais rencontré plusieurs personnes s'étant faites torturer par sa personne. Vu que je lui ressemblais comme deux gouttes d'eau, beaucoup de ces personnes me détestèrent du premier coup d'oeil, ce qui me rendait bien triste. Vers mes 28 ans, je fis une rencontre bien intéressante dans les rues sombres de la ville. Comme la plus part des samedis soirs, je revenais tard dans la nuit - ou tôt le matin, à vous de voir - de soirée bien animées - j'adore faire la fête. Les mains dans les poches, je sifflotais l'air du tube du moment quand quelques éclats de voix m'interpelèrent. "Alors, tu te défends pas petit?" Avec un tant soit peu de logique, n'importe qui aurait compris qu'il y avait soit une bagarre soit quelqu'un se faisait agressé. La deuxième situation était la bonne. En bonne adulte resp... non, je suis pas responsable. En bon... protecteur que je suis?, je jetai un coup d'œil dans la ruelle d'où provenait les paroles peu sympathiques qui fusaient. J'y découvris un jeune homme blond entrain de se faire tabasser par trois types baraqués. Je n'avais AU-CU-NE chance contre eux, c'était un fait. Or, j'avais un atout face à eux : moi, je me battais avec ma tête. Ce fut comme ça qu'avec un déhanché des plus torrides, je m'approchai de l'un deux avant de glisser ma main dans son dos en lâchant un sensuel "Salut, beau gosse", accompagné d'un clin d'oeil. Quatre pairs d'yeux ahuris se posèrent sur mon étrange personne avant que mes lèvres réalisent la même action mais sur la bouche du type que j'avais prit en cible. Celui-ci voulut m'envoyer une bonne droite que je parai - je ne vous ai pas dit que j'avais l'habitude de me bagarrer? -, sans pour autant interrompre mon baiser. Il se dégagea après que son temps de surprise n'aboutisse. Je me retournai vers le jeune homme à terre avant de leur adresser ces paroles "Il est mignon votre copain... Vous me le laissez?" Après une moue de dégoût de la part de chacun, celui semblant être le chef de ce trio lâcha froidement "Fais-en ce que t'en veux tapiole, nous on se casse!". Ce qu'ils firent sans demander leur reste. M'assurent qu'ils étaient partis, je retirai ma veste avant de demander d'un ton des plus paniqués au gamin, en déposant le vêtement que j'avais ôté sur ses épaules "Ca va mec? Tu vois combien de doiiiigts? Ca marche pas, c'est con comme truc. Putain, je suis prof de sciences, je devrais savoir quoi faire en ces cas là. Ouf. A en croire ta tête, tu comprends tout ce que je dis et es aussi conscient que moi!" Ne quittant pas son air si étonné et inquiet d'un côté il me demanda "Mais ... t'es qui?" Je lui répondis, un grand sourire aux lèvres, la main tendue "Oli Bellamy! T'inquiètes, je te ferai rien, c'était juste pour les faire fuir. Et toi?" Samuel Wolstenholme. Un nom que je n'oublierai jamais. Par la suite, on se revu plusieurs fois. Dans des soirées, dans la rue... Et plus le temps passaient, plus on devint proches. Ce fut comme ça qu'on devient, avec le temps et un peu la force des choses - vous comprendrez plus tard - meilleurs amis. Deux ans après cette fameuse rencontre, mon frère vint me rendre visite. Enfin, il ouvrit la porte à la volée et pointa un revolver sur moi. "Maintenant, Oli, tu reviens ou cette balle tu l'as dans la tête". Ma seule réponse fut un regard assassin agrémenté de cette parole "Tires la moi, je préfère ça que de torturer de pauvres gens." Il se doutait bien que je n'allais pas accepter et que même ma mort ne me ferait pas changer d'avis. C'était pour ça, qu'il avait prit ma chère mère avec. Il ne l'avait jamais vraiment aimé, contrairement à moi. "Tant pis" et il tira sur elle, après l'avoir tirée du couloir. Dépité, il n'eut aucun mal à m'emmener à ce foutu labo. Bien sur, je refusai toutes propositions qu'il me fit. Ainsi, longtemps il me tortura, croyant peut-être qu'un jour, j'allais changé d'avis. Ce qui n'arriva bien sur jamais. Après plus d'une année entière, dont la fin s'intensifiait de plus en plus, je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Aussi, c'était grâce à Samuel que j'étais toujours en vie. A ce moment là, il me disait qu'il allait réussir à me faire évader. Déprimé au plus haut point, je n'y croyais pas. Cependant, c'était sans compter sur l'intelligence et les talents d'informaticien de Sam. Grâce à lui, je peux encore vous parler en ce jour. En quelques mois, il réussit à établir un plan parfait qui me fit évader sans trop de complication. Encore aujourd'hui, je souffre de mon passé, comme tout le monde en fait. Mon seul ami est Directeur du SR, ma mère et mon ptit ami vient de me quitter. Je suis vraiment déprimé, mais surtout bizarre. Non?

Bienvenue parmi nous ! =D

Alors tout est okay pour moi, tu es donc validée ! ^^
En espérant que tu t'amuses bien ici !

Au fait, rien à voir, mais t'as vu mon fantasme il y a quelques jours ? Je te déteeeeeste T.T